OUI la colline de Kinkala et toute la paroisse avait un bel air de fête ce 23 juillet 2023 pour le premier engagement d’Augustha SOUAMOUNOU et l’engagement définitif d’Aude MILANDOU reçus par sr Martine CHAILLOT, supérieure générale.

Le 8 septembre 2023, le groupe des soeurs du Congo a eu aussi beaucoup de joie à vivre l’entrée au noviciat de Grâce et Laura dans la communauté avec leur maîtresse des novices qu’elles reçoivent : Sr Bernadette RAKOTONDRAFARA.

La Congrégation des Sœurs des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie est présente dans l’Eglise de Charente en divers lieux depuis bien des années.

Au cours du temps, les sœurs ont su s’adapter aux besoins de la société et de l’Eglise.

C’est en 1994, à la demande du Père Joseph Roux curé d’Aigre qu’une communauté de 4 sœurs est arrivée à Aigre.

Aujourd’hui comme hier, nous avons à cœur de vivre notre consécration et notre mission selon notre règle de vie :

« A la suite de Jésus Christ qui s’est fait proche et serviteur des hommes, en fidélité à ce que les sœurs des Sacrés-Cœurs ont toujours vécu, nous avons à cœur de nous enraciner dans la communauté humaine dont nous faisons partie : en étant proches des gens, en partageant les aspirations de ceux avec lesquels nous vivons. »

Concrètement nous favorisons le contact simple avec tous, nous participons aux actions proposées dans l’Eglise et dans la commune…

Notre force, c’est Jésus Christ.

En réponse à Son appel, nous nous sommes engagées à vivre en communauté fraternelle, au service de l’humanité là où nous sommes envoyées, en accueillant Son Amour et sa miséricorde et en révélant à chaque personne qu’elle est aimée tendrement et infiniment de Dieu.

Les Sœurs d’AIGRE

Depuis mai 2023, la Congrégation a mis les bâtiments du 9 rue du Roc à La Roche sur Yon, à la disposition des services de l’Etat afin d’y accueillir des réfugiés ukrainiens qui ont fui la guerre entre leur pays et la Russie, qui se poursuit depuis février 2022. Certains viennent de régions d’Ukraine qui se trouvent dans une zone de combats (Donbas), de villes dont nous connaissons les noms désormais (Karkiv, durement bombardée) ; certains ont perdu leur logement.

A ce jour, une vingtaine de familles résident sur le site, accompagnées par les professionnels de l’association VISTA (née de la fusion des associations Passerelles de La Roche sur Yon et APSH des Sables d’Olonne)

Les personnes vivent sur le site en famille, avec leurs enfants, et sont aidées pour retrouver une vie autant que possible « normale », loin de chez eux mais aussi de la guerre, apprendre le français, parfois travailler, scolariser les enfants dans les écoles de La Roche, être en proximité des administrations, des services offerts sur la ville, des commerces, de la vie culturelle …

Le jeudi 14 septembre, Monsieur Gérard GAVORY, Préfet de la Vendée (précédemment Préfet de la Manche !), a souhaité venir visiter le site et rencontrer les personnes qui y résident.

En présence de Sr Anne VION, Sr Emmanuelle BERTHO et Sr Anne-Lise JAMIN, accompagné des services de l’Etat qui ont en charge le dispositif d’accueil, notamment Monsieur Nicolas DROUART, directeur de la DTES et ses collaboratrices, et guidé par les professionnels de l’association VISTA, Monsieur Rodolphe CHAUVIN, responsable du pôle « Demandeurs d’asiles » et les éducateurs du site, le Préfet de la Vendée a visité les locaux occupés par les familles, puis engagé le dialogue avec l’aide d’une des personnes accueillies qui maîtrise le français et assurait la traduction.

Les échanges ont porté sur la vie sur le site, l’insertion dans la vie de tous les jours, les personnes qui travaillent, certains qui le souhaiteraient et sollicitent une aide pour trouver un emploi, l’accueil des enfants dans les écoles – qui après quelques mois parlent français couramment.

La présence des sœurs a permis de faire mémoire de ce qu’a été le site du 9 rue du Roc, et de manifester ainsi leur satisfaction de voir ces locaux vivre encore pendant un moment, et avec d’autres intervenants, une œuvre dans le prolongement de la vocation de la Congrégation.

La visite s’est clôturée par un verre de l’amitié.

Fénérive-Est est le chef-lieu de la région Analanjirofo à Madagascar. La congrégation des soeurs des Sacrés-Cœurs s’y trouve depuis les années 70, mais notre présence se limitait dans les tournées en brousse, la catéchèse, la pastorale du diocèse ou dans la formation de nos jeunes : noviciat, maison des sœurs en études etc… Nous répondions également aux besoins du diocèse : travail à l’évêché par exemple.

   Actuellement, la congrégation a un terrain qui n’est pas loin de la nouvelle paroisse, tenue par les prêtres spiritains à Fénérive. Pour cette nouvelle année scolaire, un ancien bâtiment a été rénové et réhabilité grâce aux efforts de toutes les sœurs à Madagascar. La congrégation y a ouvert une école de la maternelle et une classe de onzième, le 5 septembre dernier. L’inauguration a été faite en présence de la supérieure générale des soeurs des Sacrés-cœurs, Sœur Martine CHAILLOT, de passage à Madagascar. L’équipe éducative, l’évêque du lieu, les sœurs et les associés ont participé à cette inauguration.

Cinq sœurs travaillent dans cette communauté. Elles sont très proches de la nouvelle paroisse spiritaine. Elles continuent à œuvrer avec les prêtres du lieu et l’école.

Le 12 septembre dernier, la nouvelle paroisse était en fête car la construction de la nouvelle église est finie. Elle est très belle et grande. Le président de la république y était.

Merci Seigneur pour ton œuvre.

Mardi 29 août 2023…

Nous rêvions de soleil, d’espace et de grand air, d’un déjeuner sur l’herbe mais, le ciel ennuagé et menaçant a su briser notre rêve …Que faire ? …

Midi sonnant, nous arrivons. SURPRISE ! … la cursive de la chapelle a pris un air de fête : Qu’elle est belle cette enfilade de tables, couvert dressé, avec serviettes pliées, s’il vous plaît ! … Un simple coup d’œil nous permet d’apprécier à quel point chacun s’est activé pour rendre ce moment de rencontre agréable. Bénévoles, sœurs, gens de l’Issoire, personnel sont tous réunis pour vivre ensemble un temps fraternel, convivial,  favorisant l’échange et le partage

Nous rêvions de soleil ! … Le ciel ennuagé n’a pas été assez fort pour briser notre rêve : rester main dans la main pour que notre quotidien soit toujours empreint de paix et de sérénité. Quelques impressions glanées près des uns et autres vont nous aider à poursuivre notre chemin.

« Le pique-nique donne l’occasion de nous accorder aux personnes que nous côtoyons chaque jour. Aujourd’hui notre relation est gratuite et cordiale »

« l’échange autour de la table permet de découvrir l’autre sous un nouveau jour. C’est une ouverture, un véritable bienfait : cf. l’infirmière en blouse blanche est découverte en « femme de son temps »

« Rencontrer des personnes « situées » dans leur milieu de vie nous aide à garder pied et à rester en phase avec les questions contemporaines »

« Le fait d’être tous ensemble, chacun à sa place est indispensable en collectivité. Il développe un esprit de tolérance. Etc… etc …

Au creuset de la vulnérabilité naît une fraternité vitale : La douceur du regard, la tendresse d’un geste, le soin qui apaise, le « prendre soin », la sollicitude de tous font partie du baume qui comble le cœur de celui qui donne et de celui qui reçoit.

MERCI A TOUS POUR CE BEAU MOMENT ET MERCI AUX BENEVOLES PRESENTS.

NOUS REVIONS DE SOLEIL ! … IL NOUS A COMBLEES.

Texte rédigé en collaboration avec sr Madeleine Gauvrit, sr Rose-Marie Gandemer, sr Renée Brochard, sr Nelly Pasquier, sr Thérèse Pasquier et Sandrine Thomas.

Dans quelques jours, nous célébrerons la naissance de la Vierge Marie. Cette fête de la Nativité de Marie, est l’occasion pour les Catholiques de célébrer celle qui a dit oui, sans conditions, au projet de Dieu.

Les divers temps de l’année et fêtes, avec leurs différents aspects étaient un moyen privilégié pour le Père Monnereau d’évangéliser, de catéchiser et d’éveiller la foi de son peuple. C’était aussi pour lui l’occasion, lors des principales fêtes dédiées à la Sainte Vierge, avec le zèle ardent qu’on lui connaît, de faire aimer, honorer et découvrir les vertus et les grandeurs de Marie.

Laissons-nous toucher par la tendre dévotion du Père Monnereau pour la Sainte Vierge et redécouvrons à travers l’un de ses sermons, la signification et l’importance de la fête de la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie.

            C’est avec beaucoup de raisons que l’Église, adressant aujourd’hui, la parole à la Bienheureuse et immaculée Vierge Marie, lui dit, dans des transports de joie et d’allégresse : votre naissance, ô Vierge Sainte, votre naissance a rempli le monde entier de consolation, parce que Jésus-Christ, le divin Soleil de justice, est né de vous ; lui, qui étant notre Dieu et notre Sauveur, nous a tirés de la malédiction éternelle, pour nous conduire au royaume de la félicité, du bonheur et de la gloire. Et, en effet, qui est-ce qui ne pourrait pas se réjouit, aujourd’hui, au souvenir de la naissance de la glorieuse Reine de la terre et des cieux ?

          

Sermon autographe du Père Monnereau – 1

Ah ! Si l’archange Gabriel assure Zacharie que plusieurs se réjouiraient, à la naissance de son fils, St Jean-Baptiste, qui ne devait être que l’ange, le prophète et le précurseur du Messie, avec combien plus de raisons, les hommes doivent-ils tressaillir d’allégresse, à la naissance de Marie, qui doit être bientôt la Mère de ce même Messie ? Cette fête n’est pas seulement pour une ville, pour une province, pour un peuple, un royaume, une nation, un empire, elles est généralement la fête de tout le monde ; elle est pour les Juifs et les Gentils, elle est pour les Grecs et les Barbares, elle est pour les justes et les pécheurs, elles est pour les vivants et pour les morts, elles est pour tous les siècles qui ont été et qui seront, elle est pour le temps et pour l’éternité.

            Enfin, c’est une fête universelle, parce que le bien qu’elle promet et qu’elle annonce, n’est pas un bien particulier et limité, mais un bien qui s’étend à toutes sortes d’âges, de conditions et de personnes. Le Père éternel y prend intérêt, puisqu’il lui naît une Fille chérie, en qui il met ses complaisances : amica mea et dilecta. Le Fils y prend intérêt, puisqu’il lui naît une Mère qui le revêtira d’un corps mortel, pour être le Sauveur et le Rédempteur des hommes.  L’esprit Saint y prend intérêt, puisqu’il lui naît un temple vivant, qui sera le plus digne sujet des influences et opérations de sa grâce. Les anges et les hommes y prennent intérêt, puisqu’il leur naît une Dame, une Souveraine, une Reine, qui contribuera, avec le ciel, à leur procurer un sauveur, un Rédempteur. Les Pères des Limbes y prennent intérêt, puisqu’il leur naît une Aurore, qui les assure de leur délivrance. Les pauvres âmes du purgatoire y prennent aussi elles intérêt, puisqu’il leur naît une Libératrice. Enfin, tous les siècles passés et à venir y prennent intérêt, puisqu’il leur naît une Souveraine, qui sera, avec son Fils, la source de toute leur félicité et de tout leur bonheur.

            Les princes et les grands de la terre ont toujours célébré, avec grande pompe et solennité, le jour anniversaire de leur naissance, y faisant de grandes largesses aux peuples, avec des jeux et des amusements publics. Mais les plus sages de ces peuples ont condamné cette coutume et en ont publié l’erreur et la vanité. Jérémine et Job, bien loin de bénir le jour de leur naissance, ne lui ont donné, au contraire, que des malédictions, et Salomon préfère le jour où nous mourrons à celui qui nous donne la vie.

            Mais, si ce pieux sentiment est le plus juste et le plus raisonnable, à l’égard du commun des hommes, il ne saurait l’être à l’égard de la naissance de Marie, notre aimable Souveraine. Et en effet, ce qui portait Job et tant d’autres saints personnages à regretter le jour de leur naissance, c’est qu’ils considéraient qu’ils étaient pécheurs, des objets de la haine de Dieu, qu’ils étaient nés misérables, sujets aux châtiments de le vengeance de Dieu, assujettis aux mauvais penchants et aux mauvaises inclinations de la nature. Mais toutes ces raisons n’avaient point lieu au sujet de Marie, elle n’est point née criminelle, ni dans la haine de Dieu, mais dans l’heureux état de la grâce et de l’amitié de Dieu, toute pure, toute sainte, toute belle et parfaite, aux yeux de son Créateur, avec les plus heureux penchants et inclinations à la vertu : tota pulchra es anima mea, tata pulchra es et macula non est in te, et decora nimis.

            Vérité qu’il nous serait facile de prouver par les différentes gradations de vertus, de qualités et de perfections que lui donne le Saint Esprit dans le Cantique des Cantiques : car 1° il l’appelle sa bien-aimée : Surge, levez-vous, lui dit-il, amica mea, speciosa mea columba mea et veni, ô ame la plus chère à mon cœur !

            Marie naît donc pour être la Mère de son Dieu et de son Sauveur, elle naît pour être la Libératrice du monde, par le moyen du Fils divin qu’elle donnera.

Sermon du P. Monnereau n°304

 Thomas Aubin,  Archiviste de la congrégation

Sœur Isabelle, jeune professe de France, à Madagascar

Isabelle et les soeurs à Notre Dame

Nous, les sœurs des Sacrés-Cœurs de Madagascar, étions très contentes de la présence d’Isabelle Guyochet pendant son séjour à Madagascar. Elle a visité les communautés : de Fénérive-Est, de Soanierana-Ivongo du diocèse de Fénérive-Est ; d’Andrainjato du diocèse de Fianarantsoa, de Manjakaray et de Fenomanana du diocèse de Tananarive ; d’Ambatoboeny et de Maevatanana du diocèse de Mahajanga et les huit communautés de Mahajanga ville. Son pied à terre était à la communauté Notre-Dame.

Nous te remercions Isabelle pour ta simplicité, ta sociabilité et ta capacité d’adaptation. Ton modèle de vie nous enseigne à vivre vraiment le charisme des Sœurs des Sacrés-Cœurs. MERCI ET A BIENTOT A MADAGASCAR OU EN FRANCE DISAIENT TOUTES LES SŒURS MALGACHES..

ASSEMBLEE PROVINCIALE DE MADAGASCAR

Les sœurs des Sacrés-Cœurs ont vécu leur assemblée provinciale, le 23 au 25 aout dernier, avec la présence de notre Supérieure Générale, Sœur Martine CHAILLOT.

Nous avons commencé la réunion par la messe présidée par l’Evêque du lieu Monseigneur Zygmunt R. Il nous a donné une belle conférence aussitôt la messe, sur la vie de nos vœux religieux et quelques attentions sur l’emploi des nouvelles technologies.

Cette réunion aussi a été marquée par la présence des novices en 2^ème année : Sandra, Agathe, Rodine et Sianne. Elles vont partir en stage pour les trois mois à venir : Sandra à Manjakaray (Tana-Accueil), Sianne à Fianarantsoa, Rodine à Ambatoboeny et Agathe à Soanierana-Ivongo.

Cette assemblée nous a donné surtout des mesures et des axes à vivre pour toute l’année dans la congrégation à Madagascar. Elle nous prépare déjà à la préparation du chapitre en 2025 et aux changements en général dans la congrégation. Des nouvelles d’ici et de là aussi ont été entendues lors de cette assemblée.

Vœux temporaires, vœux définitifs et jubilés des sœurs

Les trois sœurs jubilaires: Justine, Ernestine et Lucile

Le dimanche 27 aout 2023, l’église Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus d’Amborovy Mahajanga était bondée par des paroissiens, les familles des sœurs qui font leurs vœux et leurs jubilés, des invités, des membres associés, des diacres et des prêtres, et presque toutes les sœurs des Sacrés-Cœurs de Madagascar.

La cérémonie a été encore présidée par notre Evêque Zygmunt et les 14 prêtres et diacre. Lors de cette messe, Sœurs Elliza, Marie Ella, Patricia et Brigitte ont prononcé leurs premiers vœux. Sœurs Gérine et Nizla ont vécu leurs vœux définitifs. Sœurs Justine, Lucile, Ernestine ont fêté leurs jubilés de 25 ans de vie religieuse. La messe a duré 4 heures mais tout le monde a eu la patience et la joie d‘être témoin de la consécration de nos sœurs.

Nous sommes marquées par l’universalité de l’Eglise et l’accueil de tous. La famille de Nizla, du côté de son papa, est musulmane. Ils ont porté leurs costumes musulmans. Cela était beau à voir et à vivre.

La célébration des jubilés aussi nous a donné de l’émotion. Chaque sœur a reçu un diplôme signé par l’Evêque et les supérieures. Monseigneur Zygmunt a affirmé que ces sœurs ont beaucoup travaillé pour l’Eglise et la congrégation durant ces 25 années.  C’est bien de marquer leur fidélité et leur courage durant ces années.

La fête continue dans la cour des sœurs à Amborovy après l e repas, on  danse, chante, célèbre en beauté la Grâce de Dieu. MERCI SEIGNEUR !

Entrée au postulat et au noviciat

Les huit postulantes : Rosette,Chlorine, Julia, Sonia, Anistale, Lydia, Claudine, Zaerine.

Le mercredi 30 aout 2023 dans l’après-midi, au postulat des sœurs des Sacrés-Cœurs à Antanimalandy Mahajanga, Rosette, Julia, Anistale, Zaérine, Claudine, Sonia, Lydia et Chlorine ont marqué le commencement de cette étape de formation première.

Les 5 novices en 1ère année : debout de gauche à droite : Jinas et Zoeline. Assises: Justine, Augustine, Odette.

Le lendemain, le 31 aout 2023, c’était le tour d’Odette, Justine, Augustine, Zoéline et Jinas, de faire leur entrée au noviciat Nazareth à Tsaramandroso.

En ce moment où j’écris, des sœurs y compris notre Supérieure Générale sont en route pour Fénérive-Est pour inaugurer le nouveau bâtiment de l’école primaire.

Carole, sœur des Sacrés-Cœurs (Madagascar)

Les anniversaires se souhaitent et se fêtent à la maison Esther Blé

Chaque mois nous avons le plaisir de nous retrouver au « Goûter des anniversaires ».

Ce moment est une occasion de fêter les anniversaires « du mois », autour d’un moment en musique et d’un bon gâteau partagé.

Cette fois-ci c’est sous les couleurs et le rythme du Cameroun avec Hermine et Marie-Bernadette, 2 salariées.

Un instant joyeux pour s’exprimer en chantant ou dansant.

Parmi les anniversaires, nous avons fêté les 100 ans de Sr Madeleine qui est née le 24 août 1923…