Rentrée des classes à Brazzaville (Congo)

Ce mardi 1er octobre, c’est le jour de la rentrée scolaire. A l’école Angélique Massé, autour du mât, après la bénédiction par le Père Yvon, Salesien de Don Bosco, a suivi la présentation du personnel et quelques orientations pour les élèves.
En général, la rentrée des classes n’est pas très suivie par les élèves. 40% de participation.
Nous sommes au début et c’est timide. Par contre tout le personnel était présent.

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Sr Édith

Il y a 200 ans, disparaissait Madame Massé, co-fondatrice des religieuses des Sacrés-Cœurs

Le 29 septembre 1824 disparaissait Angélique Jourdan Massé (1761-1824), en religion Mère Marie de l’Ascension. Par le rôle décisif qu’elle a eu à l’origine de la congrégation, Madame Massé, dans le sillage du Père Monnereau est co-fondatrice des Sœurs des Sacrés-Cœurs. Deux cents ans après son décès, elle est devenue à l’aune d’une réhabilitation méritée un visage familier et marquant de la congrégation.

La jeunesse d’Angélique, éléments biographiques

La petite Angélique Urbaine Jourdan voit le jour le 22 janvier 1761, à Craon (Mayenne). Peu de temps après sa naissance sa maman décède, par nécessité, elle sera confiée à des religieuses de Château-Gontier, recevant l’éducation et l’instruction qui vont lui permettre de partir à la fin de son adolescence comme demoiselle de confiance chez la famille de Sapinaud, à la Rairie de Bazoges-en-Paillers. C’est depuis la Rairie qu’elle épousera un domestique des Sapinaud, René Massé (1767-1820) avec qui elle aura un fils, Isidore (1791-1831). Après la guerre de Vendée (1793-1796), les Massé gagnent Paris, ou René Massé fréquente les cercles républicains, tandis que son épouse donne l’hospitalité aux nobles qui traversent la capitale.

D’un commun accord, le couple décide de vivre séparément, et c’est aux alentours de 1804 qu’ils regagnent la Vendée. De son côté, René Massé s’installe près des Herbiers, tandis que Madame Massé revient à Bazoges dans la famille Sapinaud, permettant ainsi à son fils de suivre les cours du petit collège-séminaire de Chavagnes. Rapidement et pour trouver un moyen d’existence, elle trouve une place de régente (institutrice) aux Brouzils.

Madame Massé, institutrice des Brouzils et première religieuse de la congrégation

Arrivée aux Brouzils vers 1807 ou 1808, l’institutrice semble très appréciée de la population. C’est du moins ce qui transparaît à travers le seul témoignage connu sur cette période, écrit par l’une de ses élèves, Esther Blé (1806-1880), en religion sœur Marie de l’Incarnation. À travers ce témoignage, on ressent l’affection d’Esther Blé pour son institutrice, décrite comme « notre pieuse et zélée maîtresse d’école […] elle me donnait tous ses soins, elle employait tous les moyens possibles pour m’instruire ». Apparaissent aussi par ce témoignage les qualités pédagogiques de Madame Massé « Elle était assez instruite pour des enfants de la campagne. Elle connaissait parfaitement sa religion et toutes les semaines, elle nous faisait l’instruction, nous expliquait très bien le catéchisme […] elle avait un talent tout particulier pour instruire les enfants. Elle était bonne, douce, compatissante, charitable et simple ».

À son arrivée aux Brouzils le 14 août 1814, le Père Monnereau n’ignore sûrement pas l’estime générale que porte la population à son institutrice et naturellement, un climat de confiance s’installe rapidement entre le jeune curé et l’institutrice. Tout cela préfigure les bases de la petite communauté des Brouzils, dont la mise en œuvre semble partagée par les deux, par l’initiative non négligeable de Madame Massé qui « Pria Monsieur le Curé de visiter fréquemment son école […] et le pria de lui donner, non seulement un règlement de vie ordinaire aux personnes de son état et de vouloir bien l’admettre au nombre des personnes qu’il désirait former à la vie religieuse ». Consciente de l’importance de son rôle d’institutrice, l’école devient le terreau fertile de la future congrégation, avec l’association rapide de « trois autres filles vertueuses ».

Avant de faire son engagement religieux, Madame Massé est toujours mariée à René Massé, elle lui demande donc son autorisation pour faire ses vœux, « Il y consentit et lui donna pleine et entière liberté de faire comme bon lui semblerait ». Cette situation n’est certes pas habituelle, mais elle est susceptible d’être canoniquement reconnue. Son engagement religieux eut lieu le 19 mars 1818 aux Brouzils, prenant pour nom de religieuse Marie de l’Ascension.

La place de Mère Marie de l’Ascension dans la naissance de la congrégation

Son rôle a d’abord commencé dans la petite école des Brouzils ou « le Bon père lui avait communiqué tous ses projets ». Le charisme de fondation exprimé par le Père Monnereau a véritablement pris corps chez les premières sœurs sous la direction de Mère Marie de l’Ascension, permettant à la congrégation naissante de se développer et de s’affermir au travers des difficultés. Son expérience, sa maturité, ses qualités pédagogiques la désignent naturellement comme la formatrice du premier noyau des jeunes sœurs, faisant dire à Sr Marie de l’Incarnation « A bien considérer ce qui s’est passé, sans elle je puis vous assurer qu’il n’y avait personne ici en ce temps…pour entreprendre ce qu’elle entreprit […] elle a été à juste titre notre première fondatrice ». Le Père Monnereau n’était pas lui-même membre de la communauté dont il était le père, par conséquent le rôle tenu par Madame Massé, rôle de l’intérieur est fondamental dans la phase de création de la congrégation et il en parle à juste titre aux religieuses des Sacrés-Cœurs  « comme de leur Supérieure fondatrice ».

Que ce soit de son vivant ou peu de temps après son décès de nombreuses personnes trouveront cela insupportable d’avoir eu comme première supérieure une femme séparée de son mari. L’histoire de la congrégation sera réécrite, minimisant ainsi la place et le rôle de madame Massé dans la naissance de la congrégation. Cette histoire officielle prévaudra jusque dans les années 1990, ou le travail rigoureux de Sœur Marguerite Vrignaud permettra de faire toute la lumière sur la place et le rôle véritable de co-fondatrice tenue par Madame Massé.

Thomas Aubin (archiviste de la congrégation)

Une journée qui restera dans les cœurs

C’était il y a trois semaines et on en parle encore… et on en parlera longtemps sans aucun doute.

MERCI Isabelle pour ton Oui et tes vœux définitifs prononcés publiquement, en Église, ce dimanche 1er septembre 2024.

Depuis cette magnifique célébration très profonde, « magnifique » et qui a touché tous les cœurs… Beaucoup donnent de beaux échos de ce qu’ils ont vécu,  à l’église Notre Dame, au verre de l’amitié et ensuite à la salle de Sérigné pour un repas haut en couleurs. La joie et la paix, l’amour, la douceur et la bienveillance… ont circulé entre tous !

Vous pourrez retrouver ci-dessous l’homélie de monseigneur Jacolin qui nous l’offre à relire; la prise de parole de Sœur Isabelle en dialogue avec Sr Martine Chaillot, supérieure générale et avec Monseigneur… et vous pourrez aussi revoir, revivre par un lien YouTube, les moments importants de la célébration d’engagement. https://youtu.be/6huEFvU8UOU

>Homélie Mgr Jacolin

>Dialogue d’engagement

Je laisse le dernier mot à Isabelle qui à la fin de la célébration, nous disait MERCI !

Sr Anne Vion

« Au nom de la congrégation, de ma communauté, de ma famille et bien sûr personnellement, je vous remercie très chaleureusement pour votre présence à mes côtés en ce jour.

Un beau visage d’Église, formée de personnes croisées au fil de mes 40 ans de vie de baptisée.

Je remercie aussi tous ceux et celles qui n’ont pas pu venir et qui se sont unis à nous par la prière.

Merci tout particulier à ma famille, mes amis, mes collègues de me faire le cadeau d’être là pour ce jour si important pour moi.

À chacune de mes sœurs et à nos amis associés, merci pour vos témoignages de foi, votre confiance et votre engagement qui me portent.

Mgr Jacolin, chers frères prêtres et diacres, merci pour votre disponibilité et votre soutien à notre vie religieuse apostolique.

Un profond et fraternel merci à tous ceux qui ont contribué à la beauté de cette célébration et qui ont participé à sa préparation. Pour tous les paroissiens qui m’ont offert leur aide.

Je ne saurais les nommer tous sans risquer d’en oublier. Merci pour votre précieux service.

Je rends grâce au Seigneur pour votre accompagnement en ce jour mais aussi pour tous les liens tissés depuis 9 ans au sein de la paroisse et dans les diverses missions vécues.

Comme vous l’avez compris, j’ai répondu oui pour une nouvelle aventure, je vais partir après-demain de Fontenay et samedi 7 de France, reconnaissante et heureuse, alors je profite d’avoir ce micro pour vous dire au-revoir et MERCI pour tout ce que vous m’avez apporté, votre accueil, votre confiance, votre soutien fraternel.

Sr Isabelle »

Un plaisir à partager, à déguster !

Il a plu un peu, le soleil a brillé, les mûres sont à point !

Avec Yvonne, nous demandons d’abord le matériel nécessaire à la préparation et à la cuisson, à Marcelle au Centre Pierre Monnereau.  Elle nous le prête avec bon cœur.

Et nous partons à la cueillette. Elle est fructueuse et il fait très beau ce matin.

Dans l’après-midi, réalisation des confitures. Nous obtenons 2,500 kg de jus de mûres ! Le tout mijote avec 2 kg de sucre sur une plaque électrique, salle Horizons. C’est un plaisir !

Nous obtenons une douzaine de pots de confitures qui seront appréciées des sœurs au goûter.

Et nous recommencerons avec d’autres fruits ou des tomates.

Déo gratias !

Sœur Marie-Thérèse Dupé.

Rentrée en République Dominicaine

En République Dominicaine, dès fin aout, les enseignants et éducateurs de l’Ecole Angelica Massé à Santo Domingo ont repris le chemin de l’école. Ils ont accueilli les élèves en partenariat avec Fe y Allegria.

Cette année, l’orientation de travail pour tous a été dévoilée :

« Escuela que aprende conectando con sus Emociones », vous l’aurez traduit par vous mêmes : Une école qui apprend en se connectant à ses émotions

Tout un chemin de vie avec l’accueil, la reconnaissance et la gestion de ses émotions, adultes, jeunes, enfants pour un chemin de croissance et d’apprentissage fructueux.

Nous leur souhaitons une très bonne année scolaire !

Sr Anne et Sr Altagracia Ortiz Mena

Nouvelles de Madagascar

Les 6 associés engagés

Après l’Assemblée Provinciale 2024 de Madagascar, la Province marque l’engagement des Associés à la congrégation. Ils sont six adultes qui ont cheminé avec la congrégation, pour la plupart, pendant plusieurs années.

Rentrée au Postulat et Noviciat

Le jeudi 05 septembre 2024, cinq jeunes filles faisaient leur entrée au postulat de la congrégation des Sacrés-cœurs à Madagascar. Il s’agit de Liliane, Laurencienne, Patricia, Anjarasoa et Frella.

Elles ont pris la parole de Dieu dans Jn 12,26, «  Si quelqu’un me sert, qu’il me suive ».

Chacune disait dans leur témoignage la nécessité de la Foi dans leur vie. Chacune aussi a son histoire qui est souvent marquante dans leur vie depuis leur naissance.

C’était au tour du noviciat qui faisait leur entrée le vendredi 06 septembre 2024. Il s’agit de Claudine, Rosette, Zaérine, Anistale, Sonia, Julie, Lydia.

Leur Parole de Dieu était : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis » Jn 15,16

Bonne route, chères jeunes filles avec vos  communautés et toute la congrégation.

Carole, sœur des Sacrés Coeurs.

Les novices : 1ère année debout, 2ème année au deuxième rang

Centenaire de Sr Madeleine à la Maison-Mère (France)

À la Maison mère, fête de notre nouvelle centenaire : Sœur Madeleine AGENEAU – 22 JUILLET 2024

Aujourd’hui, jour de sa fête et de son anniversaire, sœur Madeleine franchit à son tour le cap des 100 ans ! Nous sommes heureuses de célébrer cet évènement par l’Eucharistie, rendant grâces par de joyeux chants pour cette nouvelle étape dans sa longue vie. A la fin de la cérémonie, le père Yves est allé rejoindre sœur Madeleine pour lui offrir un petit bouquet de roses. Très heureuse, souriante, Madeleine a apprécié ce geste et montré qu’il fallait déposer ce bouquet aux pieds de la Vierge Marie. Ensuite, la communauté, ainsi que le père Yves et Monsieur le Directeur ont pris part au déjeuner festif préparé à cette intention ! Quelques jours plus tard, en compagnie de Madame Thomas et de quelques sœurs, des membres de sa famille ont été invités pour la fêter encore. Avec Madeleine, notre communauté compte aujourd’hui trois centenaires à qui nous souhaitons « bonne et heureuse vie !».

Une sœur de la Maison mère

Jours de joie et d’allégresse à la Maison mère.

Merci sœur Madeleine et bonne route à vous !

Sandrine Thomas, assistante de communauté.

Un visage de la Congrégation, Adèle Duchevreuil

Mes petits enfants, servez bien le Bon Dieu et surtout aimez-vous les unes les autres”, ainsi, s’achève en 1875, à travers ces mots

adressés à ses Sœurs, la vie d’Adèle Duchevreuil (1801-1875), en religion Sœur Marie, fondatrice, à Cherbourg de la Congrégation des Sœurs de la Charité de Jésus et Marie, dite de la Bucaille.

Née le 18 octobre 1801 (27 Vendémiaire an 10) à Equeurdreville, non loin de Cherbourg, elle est la dernière d’une famille de vingt-quatre enfants. Durant son enfance, elle reçoit les fondements d’une éducation chrétienne et pour son jeune âge, elle fait déjà preuve d’une grande charité envers les petits et les humbles.

Au décès de son père en 1830, elle décide de se tourner vers la vie religieuse, d’abord chez les Sœurs de la Sagesse, puis en fin d’année, peu de temps avant son départ, l’abbé Godefroy (1804-1880), son confesseur, lui propose la direction du Bureau de bienfaisance de Cherbourg. À partir de ce moment-là, Mademoiselle Duchevreuil, comme on l’appelle encore, va donner au Bureau qu’elle dirige, une direction Chrétienne de plus en plus accentuée, qui va guider le reste de sa vie et la diriger vers la fondation d’une Congrégation.

Sa vie est marquée par la mise en pratique de la charité sous toutes ses formes, déclinée à sa Congrégation par un dévouement sans limites, et une charité tendre aux plus démunis, aux orphelines et aux personnes âgées…

Pour en découvrir davantage sur la Congrégation des Sœurs de la Charité de Jésus et Marie, fondée par Adèle Duchevreuil, le premier numéro de la Voix des archives, vient de paraître, il en retrace l’histoire, à l’occasion du cinquantième anniversaire de fusion avec les Sœurs des Sacrés Cœurs de Mormaison (cliquer sur l’image ci-dessous pour accéder à « Voix des archives N°1 »)

Thomas Aubin, archiviste de la Congrégation

« Que Notre Dame veille sur l’équipe éducative et les enfants de cette école ! » (France)

Ce 21 juin, à l’école Notre Dame des Essarts, toute la communauté éducative s’est réunie pour célébrer l’inauguration-bénédiction de ces nouveaux bâtiments. La congrégation avait été sollicitée pour permettre l’acquisition d’une statue de la Vierge Marie pour la placer dans une des cours de l’école qui porte le nom de Notre-Dame.

Ce fut une joie de participer à ce beau moment de célébration autour de la statue de Marie et de son Enfant ! Nos sœurs aînées sauront peut-être reconnaitre ! La congrégation a œuvré dans cette école dont l’histoire a été rappelée par le chef d’établissement. La visite des locaux neufs et rénovés a permis d’être témoin du souci constant de donner un cadre de vie éducatif, humain et spirituel pour la croissance des enfants des Essarts en Bocage.

Voici quelques photos et témoignages illustrent la qualité et la beauté de ce temps de communion.

Sr Anne Vion

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Paroles d’enfants :

« J’ai apprécié tenir la croix de ma classe lors de la bénédiction. » (élève de CM2)

« J’aime beaucoup la statue, elle est très belle. J’ai hâte qu’elle soit installée sur la cour ». (élève de CM2)

« J’ai trouvé que la bénédiction était belle ». (élève de CM2)

Paroles d’enseignants :

« J’étais ravie de voir que mes élèves étaient présents en nombre. Certains enfants ont même emmené leurs grands-parents à ce temps. Ce fut un bon moment de partage intergénérationnel. » 

« La préparation de la bénédiction de la statue par la récitation d’un chapelet vivant tout au long de la semaine a mis en projet toute l’école. »

« Que Notre Dame veille sur l’équipe éducative et les enfants de cette école ! » 

Paroles d’ASEM :

« Nous avons passé un agréable moment où l’histoire de l’école Notre Dame a bien été retracée. Nous avons découvert l’origine de la statue qui va trouver sa place sur notre cour. »

Paroles du Chef d’établissement, François Remaud :

« La bénédiction de la statue de la Vierge Marie, de l’école et plus largement des enfants et des adultes de notre communauté éducative est un moment fort. Avec cette statue, le lien avec les Soeurs des Sacrés Coeurs de Jésus et de Marie (Mormaison) sera toujours présent dans l’enceinte de notre école. »